Nous avons amorcé au printemps 2018 un cycle consacré au cinéasteIngmar Bergman, à l’occasion de son centenaire. Le franc succès obtenu nous a encouragé à prolonger nos efforts. Quelques films en 35 mm et des restaurations récentes exposeront une thématique constante de son cinéma, où l’angoisse individuelle et le trauma ont des origines parfois incertaines. La représentation du rêve et des tourments de personnages autocentrés y sont monnaie courante. Si la distorsion du réel n’est pas uniquement un fait du cinéma de Bergman, son travail de mise en scène dans cette voie atteint pourtant un point d’achèvement. Nous proposons ici une quinzaine de projections, pour la plupart des nouveaux titres absents du premier volet de la rétrospective.
(source : Cinémathèque québécoise)